Avant SUPDEWEB, j’étais dans une autre école et pendant un cours, on pratiquait le Word Press et j’ai eu une sorte de déclic où je me suis dit « je veux faire du digital ». Seulement, mon école à ce moment-là ne proposait pas de cursus digital, j’ai alors effectué des recherches et je suis rapidement tombé sur SUPDEWEB. J’ai été attiré par les cours proposés et l’alternance. En 2016, j’intégrais SUPDEWEB.
Je vois l’alternance comme un énorme plus puis à cette époque, c’était indispensable pour moi. Je cherchais mon indépendance, il fallait que je travaille comme un vrai professionnel. Je pouvais travailler tout en continuant mes études, c’était l’alternative parfaite.
Je retiens beaucoup de projets et la diversité des cours. Cette formation m’a donné un aspect plus global du digital et un vrai business modèle. Ça m’a simplement donné les clés du succès !
À la sortie de l’école, Franck Kerfourn m’avait dit « si un jour, tu es prêt à donner des cours tu es le bienvenue ». Un beau jour, je me suis senti prêt. J’ai commencé avec des ateliers et rapidement, j’ai eu ma classe. Depuis ce jour, je donne des cours de traffic management, SEO et marketing.
Je suis contente de pouvoir transmettre à mon tour aux étudiants et fier de pouvoir leur ramener une version un peu plus pratique de la réalité du monde du travail digital. Je leur raconte mon parcours, parle de mes réussites, mais énormément de mes échecs. À travers mes échecs, j’essaye de leur donner confiance en eux. Et puis j’ai trouvé une certaine stabilité dans ma vie grâce à ça.
J’étais en alternance chez WiziShop et à la fin de mon contrat, ils m’ont proposé d’intégrer la boite en CDI, en tant que consultant SEO. J’ai passé un an à leurs côtés puis nos chemins se sont séparés. J’ai arrêté puisque j’avais pas mal de demandes de créations de sites et je n’arrivais plus à gérer mon travail à WiziShop. Avec le temps, j’avais de plus en plus de demandes de formations et moins de demandes de création de sites. J’ai alors décidé de me consacrer à 80 % de formation. J’interviens désormais, dans plusieurs écoles digitales.
Oh que oui ! J’ai cette sensation d’avoir apporté ma pierre à l’édifice. Je continue à promouvoir les valeurs de l’école et à participer au succès de l’école. La nouvelle génération est là et ça fait chaud au cœur de voir que je suis passée de l’autre côté et qu’avec mon expérience, je peux transmettre le flambeau.