J’ai fait un baccalauréat électro-technique et après, j’ai enchaîné avec un BTS techniques commerciales. J’ai commencé à apprendre le marketing et j’ai eu une sorte de révélation et encore plus quand j’ai fait mon premier stage dans une entreprise qui vendait des protections solaires. J’ai pu goûter à la vente en ligne et j’ai adoré. J’ai donc cherché une école qui proposait ce genre de formation et je suis tombé sur SUPDEWEB. J’ai intégré la 4e année.
Le travail en équipe, car il y avait une cohésion dans la classe. Ça m’a apporté beaucoup surtout que j’étais le plus jeune de ma promotion donc j’apprenais de mes camarades. J’ai pu échanger et apprendre de personnes différentes. J’ai pu acquérir des connaissances en gestion de projets et j’ai pu toucher à tout. Techniquement, je suis comme un couteau suisse !
On était une petite classe et on sortait beaucoup ensemble, toutes les semaines. Encore aujourd’hui, je suis en contact avec eux. Ce qui est drôle, c’est qu’une de mes anciennes camarades et aujourd’hui ma meilleure amie. À l’heure où je vous parle elle est dans un bureau à côté !
Il y a 5 ans, je sors de SUPDEWEB et entre en tant que salarié dans une entreprise, dans laquelle je resterais trois mois. Rapidement, j’ai voulu monter mon site de vente. Au début, je vendais des produits en ligne et j’ai fini par trouver ma boutique pour bébés. J’ai donc lancé un site de vente, mais j’ai senti un décalage par rapport au secteur. Avec des amis, on a attendu d’avoir un peu d’argent pour lancer un projet plus solide : Motiv-art. On fait des tirages d'art sur toile et on exporte dans le monde entier. À côté de ça, j’ai lancé une plateforme B2B, avec 50 % d’e-commerce et 50 % de cryptomonnaie. Ce projet va sortir dans quelques semaines.
Je suis intervenant depuis trois ans, à SUPDEWEB. Deux ans après reçu ma formation, je me suis dit que j’étais capable d’apporter quelque chose de bien aux étudiants. Il n’y avait pas énorme écart d’âge avec ma classe donc c’était plus simple pour moi de leur expliquer les réalités du terrain. Mon but est de leur faire prendre conscience qu’il faut se bouger, car la vie professionnelle arrive vite.
L’école n’est pas une finalité à l’apprentissage. Si demain, vous voulez aller plus loin, vous spécialiser dans quelque chose, il faut apprendre quotidiennement et s’enrichir par soi-même, être curieux. Grâce à ça, vous pouvez être meilleurs que les autres et surtout vous démarquer. Il ne faut rien lâcher et rendre les projets scolaires comme étant des projets professionnels. Bossez à côté, suivez des formations pour devenir spécialiste d’un sujet.