Avant l’EFAP, j’étais en fac de droit, mais j’étais peu enthousiaste face au domaine que je découvrais et j’avais besoin de voir autre chose. J’ai alors découvert L’EFAP, qui était une école neuve avec une approche différente de la communication. J’ai vu qu’elle proposait un cursus de trois ans et j’ai rapidement mordu aux métiers de la publicité.
Je réalise à quel point j’ai eu de la chance ! J’ai pu découvrir des métiers que je ne connaissais pas et j’ai vraiment vécu cette expérience comme un jeu, un plaisir. J’étais plongé dans la réalité du secteur de la communication grâce aux stages qu’on faisait dès la première année. Ce que je retiens, c’est l’apprentissage d’un secteur et la découverte d’un métier, mais aussi les bases pratiques et théoriques que j’ai pu acquérir pendant trois ans.
J’ai le souvenir d’avoir eu un professeur, qui était un spécialiste des médias en Belgique. C’est lui qui m’a donné le goût de la presse et il me disait toujours « ce qui compte pour travailler dans la presse, c’est faire une université et non une école comme l’EFAP ». Grâce à cette phrase, j’ai été encore plus passionné ! Et d’ailleurs, aujourd’hui, j’ai un client qui détient le plus important groupe de presse de Belgique. Je démontre que ce que j’ai aimé dans cette école, ça a généré encore quelque chose aujourd’hui. J’ai aussi un autre souvenir en tête ! Le premier jour, lors de mon entretien à l’EFAP, j’ai croisé un autre étudiant qui venait de passer le même entretien. Le lendemain, je recroise le directeur, qui me dit « tiens, vous allez bien vous entendre avec la personne que vous avez vue hier, vous avez beaucoup de points communs ». Aujourd’hui, cette personne est mon meilleur ami !
Je suis très content de voir qu’elle est toujours là, même si elle a changé de nom. Quand on me demande quelle école j’ai fait, je suis heureux et fier de dire l’ECS. Le fait qu’elle soit toujours là, ça apporte de la valeur sur le cv et en plus, elle est internationale. Ça montre qu’elle est ouverte sur le monde, qu’elle brasse plein de communautés et d’idées.
Je me suis inséré assez naturellement dans la vie professionnelle puisqu’après avoir fait 4 mois de stage dans une entreprise, j’ai été recruté par cette même entreprise. Je n’ai donc pas senti l’après EFAP. Après quelque temps dans cette entreprise, j’ai lancé ma propre agence de communication, Shake. Responsable de cette petite entreprise, je m’occupe de la gestion (comptabilité, fiscalité…), je crée des publicités pour mes clients, j’imagine et propose des campagnes, je choisis des photographes… J’ai pas mal de tâches à accomplir !
Se mettre en danger ! On ne peut pas se dire, c’est fastoche, j’étudierais mes cours la veille de l’examen, il faut se mettre en danger et profiter de tout ce que l’ECS propose. Il faut dépasser les attentes des professeurs et il ne faut pas s’inscrire à l’ECS juste pour avoir un diplôme. L’ECS, c’est une expérience et une découverte de plusieurs métiers.